jeudi 15 novembre 2012

Nouvelle idée de fexibilité de l'adaptabilité au travail

Je sens que la flexibilité va bientôt revenir sur le tapis (ça tombe bien c'est souple un tapis) et ça me donne une nouvelle idée



(photo piquée au test sur l'adaptabilité au travail de psychologies.com)


Plutôt que de faire une flexibilité à l'allemande, qui correspond en gros à travailler moins pour gagner moins quand le patron le demande, ce qui me semble inacceptable quand les charges des salariés sont constantes, voire augmentent avec le temps !

Je propose donc de faire de la double flexibilité en CDI : le patron donne un besoin horaire mensuel ou hebdomadaire (au choix du dirigeant) à ses salariés (peut-être à encadrer dans des limites pour éviter la délocalisation) Et les salariés choisissent de faire ce qu'ils veulent (en restant dans la limite européenne des 48h / semaine) comme horaire, par ordre d'ancienneté !
Donc les recrutés les plus récents devront forcément s'adapter en travaillant plus ou moins, l'adaptation me semble plus facile pour une jeune recrue, surtout si ça remplace le travail intérimaire qui n'est que de l'adaptation.

Ce privilège d'ancienneté ne coûte rien au patron, évitera peut-être que les salariés soient virés après leur 50 ans, surtout s'il décident de travailler moins, étant déjà propriétaires de leur logement, ou fatigués.

Jadis on parlait d'un retraité qui travaille de moins en moins tout en formant un jeune de plus en plus, c'est un peu le principe de mon idée, mais moins contraignant (si ça n'était pas contraignant ça existerait déjà).

Il faut évidemment coupler cette idée à mon idée précédente, qui elle seule encouragera à l'embauche.

vendredi 4 mai 2012

changer le mode de calcul des charges sociales

Une petite idée que j'ai depuis très longtemps pour améliorer la situation des entreprises et du chômage, je suis étonné de la retrouver nulle part, je dois être idiot (ou aveugle ?) mais je ne vois pas en quoi.

Actuellement une entreprise paye des charges sociales en fonction de la masse salariale, outre le fait que ça signifie symboliquement que le travail c'est mal (ce dont je suis persuadé) ça empêche aussi l'embauche, puisque plus on a de salariés plus on paye !

Les charges augmentent même plus vite que le nombre de salariés, puisque les règles changent avec l'obligation d'un CE, d'un médecin du travail etc... (ce qui est bien)

Je propose que le calcul des charges sociales patronales et salariales) soit juste l'inverse, au lieu d'être un pourcentage du salaire, on prend le chiffre d'affaire de l'entreprise et on divise par le nombre de salariés une sorte de "quotient salarial" équivalent au quotient familial.

Et c'est sur ce quotient salarial=CA/nb de salariés qu'on calcule le % de charges (on peut aussi faire ce genre de réforme à coût constant)

Du coup un artisan payera deux fois moins de charges s'il embauche un aide et sera deux fois moins fatigué, et donc coûtera sans doute moins à la caisse maladie.

Une entreprise qui a besoin de beaucoup de main d'oeuvre, et lutte donc efficacement contre le chômage, payera deux fois moins de charges qu'une entreprise de chiffre d'affaire équivalent mais qui a deux fois moins de salariés !

Et last but not least, toutes les entreprises spéculatrices qui font un très gros CA avec juste des ordinateurs et une poignée de traders, payeront le max de charges !

Voilà idée que je serais ravi de voir piquée ^^